samedi 31 janvier 2009

Voici quelques bonnes raisons de faire affaire avec un agent ou un courtier immobilier:


  • Il a suivi une formation professionnelle offerte par différents établissements reconnus, comme le Collège de l'immobilier du Québec.
  • Il a reçu une formation en droit, en évaluation immobilière, en mathématiques immobilières et en rédaction de contrats, de même que sur la Loi sur le courtage immobilier.
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  • Il sait diriger ses clients vers les bonnes personnes-ressources, qu'il s'agisse de l'inspecteur en bâtiment ou du courtier hypothécaire.
  • Il a accès au système MLS®, l'outil le plus important et le plus puissant qui fait en sorte que plus de 9 000 agents et courtiers immobiliers travaillent pour vous!

En recourant aux services d'un agent ou d'un courtier membre de la Chambre immobilière du Grand Montréal, vous vous assurez professionnalisme et tranquillité d'esprit!

samedi 24 janvier 2009

Région de Montréal

Le prix des maisons unifamiliales a augmenté de 6% en 2008

13 janvier 2009 - 09h54
Région de Montréal - Le prix des maisons unifamiliales a augmenté de 6% en 2008

En vidéo, écoutez l'entrevue réalisée avec Michel Beauséjour, chef de la direction de la Chambre immobilière du Grand Montréal.

Les ventes de maisons plongent en décembre


Le prix médian d’une maison unifamiliale dans la région métropolitaine de Montréal a augmenté de 6% en 2008 par rapport à 2007, alors que dans l’ensemble, les ventes résidentielles ont diminué de 7%, rapporte mardi la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM).

Malgré le recul du nombre de transactions, soit à près de 41 000, «le marché immobilier à Montréal s’est bien comporté en 2008», affirme Michel Beauséjour, chef de la direction de la CIGM. L’an dernier, le marché montréalais avait battu tous les records, avec près de 56 000 transactions.

M. Beauséjour estime que les prix en hausse constituent une bonne nouvelle, compte tenu de la situation des marchés de Toronto, Calgary ou Vancouver«, où les prix et les ventes ont diminué de façon spectaculaire».

Toutes les catégories de propriété ont enregistré une hausse des prix en 2008. Le prix médian d’une maison unifamiliale a crû de 6% par rapport à 2007, pour s’établir à 227 000$. Le prix médian des plex, des bâtiments abritant de deux à cinq logements, a également progressé de 6% pour atteindre 335 000$, alors que celui des copropriétés a enregistré une hausse de 3% à 185 000$.

En termes de ventes, il s’est transigé 24 295 maisons unifamiliales en 2008, 11 561 copropriétés et 4584 plex. Le nombre de ventes d’unifamiliales a chuté de 10% et celui des plex, de 9%, alors que le nombre de transactions de copropriétés est demeuré presque identique à l’année précédente.

Sur le plan géographique, les ventes sur l’Île de Montréal ont enregistré une baisse de 8%, alors qu’elles ont diminué de 5% sur la Rive-Sud et de 6% à Laval, par rapport à l’an dernier.

Le nombre de transactions enregistrées sur la Rive-Nord a diminué de 9%, de même que dans le secteur Vaudreuil-Soulanges.

Dans l'ensemble, le volume des ventes s'est établi à 10,558G$, en baisse de 4% sur 2007.

mardi 20 janvier 2009

1 ménage sur 54 en défaut de paiement aux États-Unis

La déroute du secteur immobilier américain, vue par plusieurs comme étant à l'épicentre de la crise économique qui ébranle les États-Unis, a entraîné une hausse fulgurante, l'an dernier, des procédures de saisies immobilières.
Ainsi, selon les données compilées par la firme RealtyTrac, 1 ménage américain sur 54 a été visé au moins une fois l'an dernier par une procédure de saisie, que ce soit une simple notification de retards de paiement, une annonce de ventes aux enchères ou bien une saisie par les créanciers.
Ce nombre représente 1,84 % de tous les ménages américains. Il y a donc 2,33 millions de logements qui ont donc été visés par 3,16 millions de procédures l'an dernier, en hausse de 81 % par rapport à 2007.
Et si l'on se rapporte à 2006, alors que la crise immobilière n'en était qu'à ses tout premiers balbutiements, l'augmentation du nombre de procédures est de plus de 225 %.
Ces données ont pris par surprise plusieurs analystes qui tablaient sur les mesures prises par les autorités pour atténuer l'impact de la crise économique sur l'immobilier.
En fait, entre le troisième et le quatrième trimestre 2008, le nombre de procédures judiciaires a décliné de 4 %, mais la forte augmentation enregistrée en décembre par rapport au mois précédent est venue remettre en doute l'efficacité des mesures gouvernementales.
Washington a tenté tout au long de l'année de venir en aide aux propriétaires immobiliers en imposant entre autres un moratoire sur les procédures de saisies par les deux principaux prêteurs immobiliers américains, Freddie Mac et Fannie Mae.
Interviewé par Bloomberg, un expert de l'Université Berkeley, Kenneth Rosen, a indiqué que si un programme efficace d'aide aux ménages en difficulté n'était pas lancé rapidement, il pourrait y avoir entre 5 et 8 millions de nouvelles procédures de saisies immobilières au cours des trois prochaines années.
Depuis 2006, les prix moyens des résidences aux États-Unis ont chuté de plus de 20 %.

mercredi 14 janvier 2009

Le marché de la revente à Montréal tire son épingle du jeu en 2008


Île-des-Sœurs, le 13 janvier 2009
– Selon les données du système MLS®, la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) indique que le prix médian d’une maison unifamiliale dans la région métropolitaine de Montréal a augmenté de 6 % en 2008 par rapport à 2007, alors que dans l’ensemble, les ventes résidentielles ont diminué de 7 %.

« Le marché immobilier à Montréal s’est bien comporté en 2008 avec près de 41 000 transactions, une baisse de 7 % par rapport à l’an dernier, l’année qui a battu tous les records », indique Michel Beauséjour, FCA, chef de la direction de la CIGM. « De plus, les prix ont continué d’augmenter en 2008, ce qui est une bonne nouvelle pour les propriétaires et pour tous ceux qui ont un intérêt particulier dans le marché immobilier à Montréal. Il suffit de regarder ce qui se passe ailleurs, comme à Vancouver, Calgary ou Toronto, où les prix et les ventes ont diminué de façon spectaculaire au cours de la dernière année, pour apprécier la vigueur du marché montréalais. »

Toutes les catégories de propriété ont enregistré une hausse des prix en 2008. Le prix médian d’une maison unifamiliale a crû de 6 % par rapport à 2007, pour s’établir à 227 000 $. Le prix médian des plex a également progressé de 6 %, alors que celui des copropriétés a enregistré une hausse de 3 %.





En termes de ventes, les copropriétés ont été les grandes gagnantes en 2008 avec un nombre de transactions pratiquement identique au record établi en 2007. Le nombre de ventes de maisons unifamiliales a plutôt fléchi de 10 %, alors que les ventes de plex ont diminué de 9 % par rapport à 2007.

Sur le plan géographique, le nombre de transactions enregistrées sur la Rive-Sud et à Laval, a respectivement diminué de 5 % et de 6 % par rapport à l’an dernier.

Les ventes sur l’Île de Montréal ont enregistré une baisse de 8 %, alors qu’elles ont diminué de 9 % sur la Rive-Nord et dans le secteur de Vaudreuil-Soulanges.

Le niveau moyen d’inscriptions en vigueur sur le système MLS® en 2008 a été de 7 % supérieur à celui de l’an dernier, donnant ainsi un peu plus de choix aux acheteurs potentiels.

Les prix augmentent et les ventes diminuent en décembre 2008

Le nombre de transactions conclues dans la région métropolitaine de Montréal en décembre 2008 a diminué de 29 % par rapport à décembre 2007.

Le prix médian des maisons unifamiliales et des plex a continué de progresser, augmentant de 3 % en décembre 2008 comparativement à la même période l’an dernier, alors que celui des copropriétés a diminué de 2 %.

« La confiance des consommateurs, qui est un facteur clé de la vigueur du marché immobilier, a été affectée récemment en raison du bombardement constant de nouvelles sur l’instabilité de l’économie. Toutefois, les Montréalais devraient être encouragés par l’ensemble des résultats de 2008, qui arrive au second rang des années les plus actives du marché immobilier à Montréal, en termes de ventes », précise M. Beauséjour. « De plus, il est important de noter que les résultats de notre récent sondage sur les intentions d’achat et de vente nous indiquent que les intentions d’achat sont similaires à l’année dernière. »





Au 31 décembre 2008, le nombre d’inscriptions en vigueur sur le système MLS® était en hausse de 17 % par rapport à la même date l’an dernier.

Les intentions d’achat et de vente demeurent bonnes

Selon un récent sondage effectué pour le compte de la CIGM sur les intentions d’achat et de vente, 5 % des ménages de la région métropolitaine de Montréal considèrent l’achat d’une propriété en 2009, un résultat similaire à celui enregistré en 2008. Par ailleurs, 17 % des répondants ont indiqué qu’il était très ou assez probable qu’ils achètent une propriété au cours des cinq prochaines années, en baisse de 3 points par rapport aux résultats obtenus l’an dernier.



« Ces sondages se sont révélés assez fiables au cours des dernières années, ce qui est une bonne nouvelle pour le marché immobilier montréalais. À titre d’exemple, en 2006, les intentions d’achat étaient de 9 %, ce qui s’est traduit par une année exceptionnelle en 2007 », précise M. Beauséjour.

En ce qui a trait aux intentions de vente, elles sont également similaires à celles de l’an dernier. La proportion de répondants de la région métropolitaine de Montréal ayant indiqué qu’il est très ou assez probable qu’ils vendent une résidence d’ici les cinq prochaines années est demeurée à 15 %.

Le sondage a aussi démontré des différences significatives dans le profil des futurs acheteurs. Quatre acheteurs sur 10 seront des couples avec un ou plusieurs enfants, en hausse significative par rapport à 2007 (40 % versus 28 %). On enregistre aussi une augmentation dans la proportion de futurs acheteurs parmi le groupe des 40 à 49 ans (28 % versus 20 %). Autre fait intéressant, on note une augmentation significative de la proportion des répondants qui pensent acheter une résidence moins grande (29 % versus 21 %).

Ce sondage téléphonique annuel a été réalisé par le Groupe Multi Réso du 21 octobre au 9 novembre 2008 pour le compte de la CIGM auprès de plus de 1 500 répondants de la région métropolitaine de Montréal.

À propos de la Chambre immobilière du Grand Montréal

La Chambre immobilière du Grand Montréal est une association à but non lucratif qui compte plus de 9 500 membres; agents et courtiers immobiliers. Deuxième plus grande chambre au Canada, sa mission est de promouvoir et protéger activement les intérêts professionnels et d’affaires de ses membres afin qu’ils accomplissent avec succès leurs objectifs d’affaires et qu’ils conservent leur prédominance dans l’industrie immobilière.

Le prix des propriétés augmente, les ventes diminuent



Île-des-Sœurs, le 9 décembre 2008
– Selon les données du système MLS®, la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) indique que les ventes résidentielles dans la région métropolitaine de Montréal ont diminué de 31 % le mois dernier comparativement à novembre 2007, ce qui se traduit par une baisse des ventes de 6 % depuis le début de l’année par rapport à la même période l’an dernier. Alors que les ventes ont diminué, le prix médian des maisons unifamiliales a augmenté de 6 % au cours des 11 premiers mois de l’année.

« Le marché immobilier à Montréal s’est plutôt bien comporté cette année, surtout lorsqu’on considère que les prix sont en hausse et que les ventes sont comparées à celles de 2007, l’année qui a battu tous les records de ventes. Ceci étant dit, le marché montréalais demeure un bon investissement, particulièrement quand on le compare à d’autres grandes villes canadiennes comme Toronto, Calgary et Vancouver où les ventes de maisons unifamiliales ont diminué jusqu’à 37 % depuis le début de l’année, alors qu’ici, elles sont en baisse de seulement 9 % », précise Michel Beauséjour, FCA, chef de la direction de la CIGM.

« Visiblement, Montréal n’est pas immunisée contre les incertitudes économiques auxquelles les consommateurs font face aujourd’hui. Trois variables influencent le marché immobilier, soit les taux d’intérêt, la création d’emplois et la confiance des consommateurs. La confiance des consommateurs a diminué de façon marquée au cours des deux derniers mois et on note un recul de l’emploi à Montréal », ajoute M. Beauséjour.





Au chapitre des prix, le prix médian des maisons unifamiliales a augmenté de 6 % au cours des 11 premiers mois de l’année comparativement à la même période l’an dernier, passant de 215 000 $ à 227 000 $. Le prix médian des plex a aussi enregistré une hausse de 6 %, alors que celui des copropriétés a crû de 3 %.

Du côté des ventes, dans la région métropolitaine de Montréal, seules les ventes de copropriétés ont augmenté depuis le début de l’année, enregistrant une hausse de 2 % par rapport à la même période en 2007. Les ventes de maisons unifamiliales ont diminué de 9 %, alors que celles des plex ont reculé de 8 %.

Depuis le début de l’année, tous les grands secteurs géographiques ont connu des ralentissements d’activité comparativement à la même période l’an dernier. La Rive-Sud et Laval enregistrent les plus petits reculs, leurs ventes ayant diminué de seulement 4 % au cours des 11 premiers mois de l’année. Des baisses de 8 % ont été observées sur la Rive-Nord et dans le secteur de Vaudreuil-Soulanges, tandis que l’Île de Montréal a connu une décroissance de 6 %.

Novembre enregistre des baisses des ventes

Le nombre de transactions conclues dans la région métropolitaine de Montréal en novembre 2008 a diminué de 31 % par rapport à novembre 2007, alors que le prix des propriétés a poursuivi sa progression.

En novembre 2008, le prix médian des copropriétés a connu la plus forte croissance, augmentant de 5 % comparativement à novembre 2007. Le prix médian des maisons unifamiliales a enregistré une hausse de 3 % et celui des plex de 4 %.

Tous les secteurs d’activité ont enregistré des baisses des ventes le mois dernier. Les ventes de maisons unifamiliales ont diminué de 32 % comparativement à novembre 2007, alors que les ventes de copropriétés et de plex ont enregistré des baisses respectives de 28 % et de 33 %.





Au 30 novembre 2008, le nombre d’inscriptions en vigueur sur le système MLS® était en hausse de 13 % par rapport à la même date l’an dernier.

À propos de la Chambre immobilière du Grand Montréal

La Chambre immobilière du Grand Montréal est une association à but non lucratif qui compte plus de 9 500 membres; agents et courtiers immobiliers. Deuxième plus grande chambre au Canada, sa mission est de promouvoir et protéger activement les intérêts professionnels et d’affaires de ses membres afin qu’ils accomplissent avec succès leurs objectifs d’affaires et qu’ils conservent leur prédominance dans l’industrie immobilière.

Historique de la SCHL

L'année 2006 marque le 60e anniversaire de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) au service des Canadiens et des Canadiennes.

Depuis sa création, la SCHL a joué un rôle important dans presque toutes les collectivités du pays. Tout a commencé en 1944, par l'adoption de la Loi nationale sur l'habitation, qui a repris toute la législation relative à l'habitation et donné au gouvernement fédéral un rôle de premier plan en matière de programmes de logement. Visionnez la vidéo de célébration de notre 60ième anniversaire. (QuickTime 4.6 Mo, WMV 6.5 Mo)

1940s

Les années 40 : Un nouveau départ pour le logement au Canada
La guerre est terminée et le Canada vit une croissance urbaine fulgurante et une période sans précédent d'innovation dans la conception d'habitations.

La Société centrale d'hypothèques et de logement (devenue en 1979 la Société canadienne d'hypothèques et de logement) a été fondée le 1er janvier 1946 pour répondre aux besoins de logement des anciens combattants de retour au pays et s'occuper des programmes de logement au Canada.

Les fonctions essentielles de la SCHL étaient d'administrer la Loi nationale sur l'habitation et la Loi garantissant des emprunts pour réfection de maisons, et de fournir des facilités d'escompte aux sociétés de crédit et de prêts hypothécaires. Le capital de la Société était fixé à 25 millions de dollars, montant important à l'époque; en outre, la Société était autorisée à constituer, à même les bénéfices, un fonds de réserve de 5 millions de dollars. Cette exigence ainsi que la répartition du capital sont encore en vigueur aujourd'hui.

Vers la fin des années 40, en réponse à un pressant besoin de logements locatifs et sociaux, le gouvernement fédéral a amorcé un vaste programme fédéral-provincial de logements publics destinés aux familles à faible revenu; les frais et subsides de ce programme étaient partagés entre le gouvernement fédéral et les provinces dans une proportion 75 % et 25 % respectivement.

1950

Les années 50 : De la construction d'habitations à l'aménagement de collectivités
L'évolution se poursuit : la SCHL passe de la construction d'habitations à l'aménagement de collectivités, grâce à l'assurance prêt hypothécaire et aux ensembles de logements publics.

Les années 50 ont été caractérisées par une vague d'innovations dans la conception d'habitations et les techniques de construction. On s'éloignait nettement des petits bungalows modestes, tous semblables, de la décennie précédente en faveur de maisons plus spacieuses, plus efficaces et plus modernes.

Au cours de cette période, le gouvernement fédéral accordait des subventions aux villes pour les encourager à démolir les bâtiments délabrés et à mettre sur pied des offices municipaux d'habitation. Regent Park, à Toronto, a été le premier projet de rénovation urbaine : ainsi, sur un terrain réaménagé de 42 acres, on a construit en 1950 un complexe résidentiel de 1 056 logements à loyer modique.

En 1951, à St. John's (Terre-Neuve), la SCHL a mis en œuvre, aux termes du programme fédéral-provincial de logement public, un premier ensemble résidentiel prévoyant 140 logements subventionnés, dont le loyer était proportionné au revenu des ménages.

En 1954, le gouvernement fédéral a modifié la Loi nationale sur l'habitation afin de permettre aux banques à charte d'accorder des prêts en application de la LNH. La SCHL a instauré l'assurance prêt hypothécaire, assumant le risque relatif aux prêts hypothécaires lorsque la mise de fonds était de 25 %, facilitant ainsi l'accession à la propriété pour l'ensemble des Canadiens.

Expo 67

Les années 60 : Renaissance des villes canadiennes
La SCHL met désormais l'accent sur la planification et l'aménagement de collectivités, afin d'aider les municipalités à faire face à la croissance rapide des villes.

Les années 60 ont été marquées sous le signe de l'innovation. À mesure que la population devenait plus affluente, les maisons devenaient de plus en plus grandes et, pour la première fois, le sous-sol faisait partie de l'aire habitable.

Les logements publics étaient dorénavant de conception moins traditionnelle et s'intégraient mieux aux collectivités où se côtoyaient les logements subventionnés et non subventionnés. Un partenariat de plus en plus important avec les organismes sans but lucratif prenait forme également à partir de cette période.

Dans les années 60, la SCHL a construit la première coopérative d'habitation et, pour la toute première fois au Canada, les mises en chantier d'immeubles de logements collectifs ont dépassé celles de maisons individuelles.

Grâce aux recherches entreprises avec le secteur de l'habitation, la SCHL a contribué à rehausser les normes canadiennes en matière d'habitation, pour qu'elles soient parmi les plus élevées au monde. La construction d'Habitat 67, dans le cadre de l'Exposition universelle de Montréal, a donné lieu à d'importantes avancées au niveau des matériaux et des techniques de construction.

En 1967, la SCHL a publié Construction de maison à ossature de bois - Canada, qui est devenue une ressource précieuse pour les petits constructeurs et les gens de métier. Il fallait sept mois et 2 400 heures-personnes pour construire une maison moyenne dans les années 40. Au milieu des années 60, il suffisait de huit semaines et 950 heures-personnes pour construire la même maison.

70s

Les années 70 : Pleins feux sur le logement social
Le coût de l'énergie et des considérations relatives à la commodité et à la qualité de vie incitent un nombre accru de Canadiens à revenir habiter au centre-ville.

Pendant les années 70, l'abordabilité est devenue un facteur majeur dans le processus d'achat d'une habitation. Afin de contribuer à rendre les habitations plus abordables, les constructeurs ont réduit la superficie des terrains et accru la densité d'occupation dans les nouveaux aménagements.

Pour répondre aux besoins des acheteurs d'une première maison et stimuler le marché de l'habitation, la SCHL a lancé, en 1971, le Programme d'aide pour l'accession à la propriété (PAAP), destiné à faciliter l'accession à la propriété aux personnes à faible revenu.

La préservation des quartiers historiques et de l'habitat dans les centres-villes étant devenue une priorité en 1973, la SCHL a coordonné la transformation de la zone industrielle décrépite de Granville Island, à Vancouver, pour en faire un centre culturel, récréatif et touristique prospère.

En 1974, la SCHL a lancé le Programme d'aide à la remise en état des logements (PAREL) pour encourager la rénovation des habitations insalubres afin qu'elles répondent aux normes minimales en matière de salubrité et de sécurité, et améliorer l'accessibilité des logements pour les personnes handicapées.

Au cours de cette décennie, la SCHL s'est penchée aussi sur les problèmes de logement chez les Autochtones et dans les milieux ruraux. Dans cet esprit, elle a lancé, en 1971, le programme Winter Warmth, le premier du genre à fournir une aide financière aux Autochtones afin qu'ils effectuent les réparations urgentes à leurs logements dans les régions rurales.

Les années 80 : Nouvelles bases pour assurer la qualité et l'abordabilité
En réponse aux importantes fluctuations dans l'économie canadienne, la SCHL offre des programmes de prêts pour faciliter l'accession à la propriété.

La rénovation a pris son envol au cours des années 80, rivalisant sur le marché avec le secteur de la construction. Malgré les taux d'intérêt élevés (ils ont grimpé à plus de 20 %), les maisons devenaient plus grandes et plus luxueuses, leur superficie correspondant à plus du double de celle des bungalows des années 40.

En 1983, la SCHL a reçu, de la part des Nations Unies, la Médaille de la paix 1982 pour avoir favorisé l'entente entre les peuples des pays de la Commission économique pour l'Europe, en qualité d'hôte d'un voyage d'études sur l'habitation, la construction et la planification.

En 1986, la SCHL a mis sur pied les titres hypothécaires LNH, offrant un nouveau moyen de placement dans des blocs de créances hypothécaires résidentielles. Ce programme a permis d'accroître l'offre de fonds à faible coût pour les prêts hypothécaires résidentiels et de maintenir le coût du crédit hypothécaire aussi bas que possible pour les propriétaires-occupants.

Enfin, la recherche et le développement touchant la qualité de l'air intérieur, la ventilation et les problèmes d'humidité ont stimulé la création de nouveaux produits et l'adoption de nouvelles façons de faire. En 1988, la SCHL a créé les Prix d'excellence en habitation pour reconnaître les réalisations exceptionnelles et mettre en valeur les innovations et les pratiques exemplaires.

Toronto, ontario.

Les années 90 : Nouvelle ère pour la science du bâtiment
La technologie du bâtiment subit une transformation radicale pour tenter d'apporter une solution aux problèmes de qualité de l'air et d'humidité dans les habitations, et aux problèmes de sensibilité aux polluants environnementaux.

Les années 90 ont amorcé une ère nouvelle dans le domaine de la science et de la technologie, notamment par la mise au point du concept Bâti-FlexMC, du logement sans obstacles et des principes de la Maison saineMC qui préconisent des techniques de construction favorisant une efficacité énergétique accrue et une meilleure utilisation des ressources.

Toutefois, malgré tous ces progrès, l'abordabilité demeurait toujours une préoccupation, particulièrement au début de la décennie, en raison de la récession qui s'était installée, des mises à pied et des incertitudes sur le plan socio-économique.

En 1991, la SCHL a créé le Centre canadien du partenariat public-privé dans l'habitation, destiné à favoriser la collaboration entre les secteurs public et privé dans des projets d'ensembles d'habitation.

En 1996, la SCHL a lancé emili, système de traitement automatisé des demandes d'assurance prêt hypothécaire qui réduit le délai d'approbation, le faisant passer de quelques jours à quelques secondes. Ainsi, les Canadiens qui s'achètent une maison peuvent obtenir plus facilement de l'assurance prêt hypothécaire.

En 1999, la Loi nationale sur l'habitation et la Loi sur la SCHL ont été modifiées pour permettre les mises de fonds de 5 %, un changement qui avait été lancé en 1990 pour une période de cinq ans dans le cadre d'un projet pilote qui était ensuite prolongé, puis adopté en 1999, supprimant de ce fait un obstacle important pour les accédants à la propriété. De plus, la SCHL a élargi ses activités sur le plan international et lancé le Centre canadien d'exportation pour l'habitation (aujourd'hui SCHL International) afin de faire connaître et faire valoir à l'étranger le savoir-faire canadien en matière d'habitation.

Tumbler ridge, british columbia

L'an 2000 et après : Tous nos chemins mènent chez vous
Durabilité et innovation deviennent les mots d'ordre de la décennie, les gouvernements mettent l'accent sur les énergies propres, l'environnement et les collectivités à la fois durables et abordables.

La SCHL favorise grandement l'abordabilité en 2001 lorsqu'elle lance les Obligations hypothécaires du Canada, destinées à assurer l'offre de fonds à faible coût pour les prêts hypothécaires résidentiels et à maintenir les taux hypothécaires à un bas niveau.

En 2002, le Conference Board du Canada remet à la SCHL le prix d'excellence en matière de régie d'entreprise pour le secteur public. Ce prix récompense les organismes qui ont trouvé des solutions novatrices et audacieuses aux défis de la gouvernance.

La question des sans-abri, l'aide au logement et le logement des Autochtones prennent une importance accrue pendant la première moitié de la décennie. En 2003 s'amorce le programme fédéral-provincial de logement abordable, le gouvernement fédéral injectant un milliard de dollars pour offrir environ 23 500 logements abordables supplémentaires.

En 2005, la SCHL lance le programme de remboursement de 10 % de la prime d'assurance prêt hypothécaire pour les propriétaires-occupants qui achètent ou construisent une habitation éconergétique ou qui font des rénovations permettant d'économiser l'énergie.

Pendant la première moitié de la décennie, la SCHL a aussi lancé deux produits d'assurance prêt hypothécaire, l'un permettant aux conseils de bande ou aux membres des Premières nations d'avoir accès au financement assuré par la SCHL pour la construction, l'achat ou la rénovation de maisons individuelles ou de logements collectifs dans les réserves et l'autre, un produit d'assurance visant à accroître le nombre de logements du marché dans les réserves.

À ce jour, la SCHL demeure déterminée à aider la population canadienne à avoir accès à un vaste choix de logements sûrs, de qualité et à prix abordable, et elle favorise la création de villes et de collectivités dynamiques et durables partout au pays. La SCHL est vraiment au cœur de l'habitation.

SCHL


La Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) est l’organisme national responsable de l’habitation au Canada. Constituée en société d’État en 1946 pour réagir à la pénurie de logements qui a suivi la guerre, elle est devenue depuis ce jour, une institution nationale d'importance. La SCHL est le premier fournisseur au Canada d'assurance prêt hypothécaire, de titres hypothécaires, de programmes, de politiques et de recherche en matière d'habitation.

Troisième trimestre de 2008 : Le marché de la revente montréalais demeure actif

Troisième trimestre de 2008 : Le marché de la revente montréalais demeure actif

Montréal, le 5 novembre 2008 -
Malgré une économie qui tourne au ralenti, le marché de la revente demeure actif depuis le début de l’année 2008. Ainsi, pour les neuf premiers mois de l’année, les ventes d’habitations existantes dans la RMR de Montréal ne sont en baisse que de 2 % comparativement à pareille date l’an dernier. Selon les plus récentes données MLS® recueillies par la Chambre Immobilière du Grand Montréal (CIGM), 8 463 propriétés ont changé de mains, au troisième trimestre, dans la RMR de Montréal. Cela représente une hausse de 1 % par rapport au troisième trimestre de 2007. « L’entrée en vigueur des nouvelles mesures quant à l’amortissement maximal et à la mise de fonds minimale pour un prêt hypothécaire assurable peut avoir créé un effet de devancement d’achat pour certains ménages », souligne Stéphane Duguay, analyste de marché à la Société canadienne d’hypothèques et de logement.

Les inscriptions de propriétés, en vigueur sur le système MLS®, ont pour leur part augmenté pour un deuxième trimestre consécutif. Celles-ci se sont chiffrées à 21 425, ce qui représente une hausse de 12 % comparativement à pareille date l’an dernier. Le prix moyen des habitations vendues a pour sa part crû à un rythme similaire à celui observé depuis le début de l’année. La croissance moyenne des prix a été de 5 %, comparativement à 4 % au trimestre précédent et à 6 % pour le premier trimestre de l’année. « Malgré la hausse des inscriptions observée au cours des deux derniers trimestres, le niveau de demande élevé fait en sorte que le marché de la revente demeure toujours à l’avantage des vendeurs, et ce, pour les trois types de propriétés », souligne Michel Beauséjour, FCA, chef de la direction de la CIGM.

Au cours du troisième trimestre de l’année, 5 098 maisons unifamiliales ont changé de mains, soit 2 % de moins que l’année dernière. L’île de Montréal, avec un repli des ventes de 11 %, est le secteur ayant le plus contribué au recul du marché de l’unifamilial. Vaudreuil-Soulanges a connu par ailleurs une baisse des ventes (-9 %) au troisième trimestre, mais son impact sur l’ensemble du marché est moins important : 367 unités vendues comparativement à 1 011 pour l’île de Montréal. Tous les autres secteurs de la RMR de Montréal ont connu une légère hausse des ventes de l’ordre de 1 % à 3 %. Les inscriptions de maisons unifamiliales ont augmenté au dernier trimestre de 17 % par rapport à l’année dernière. Cette hausse suit par ailleurs une augmentation de 9 % le trimestre précédent. Le prix moyen des maisons unifamiliales dans la RMR de Montréal était de 273 872 $, en hausse de 6 % par rapport à la même période l’an dernier. Cette croissance des prix s’avère par ailleurs plus forte que celle de 4 % enregistrée au trimestre précédent. Donc, même si l’on observe un repli du nombre de ventes et une hausse du nombre d’inscriptions, le marché de l’unifamilial demeure serré dans la RMR de Montréal.

Le marché des copropriétés fait toujours preuve de dynamisme en ce troisième trimestre de l’année 2008. En effet, du 1er juillet au 30 septembre, 2 417 ventes de copropriétés ont été conclues. Ce résultat représente une croissance de 8 % par rapport au deuxième trimestre de 2007 et est similaire à la croissance enregistrée depuis le début de l’année. La plus grande abordabilité de ce type d’habitation lui permet de bien tirer son épingle du jeu. Ainsi, dans la RMR de Montréal, de janvier à septembre, pendant que les ventes de maisons unifamiliales diminuaient de 6 %, celles de copropriétés augmentaient de 7 %. Au cours du dernier trimestre, la hausse des inscriptions a été beaucoup plus contenue pour la copropriété que pour les autres types de logement. Celles-ci ont progressé dans l’ensemble de 3 % par rapport à la même date l’an dernier. Le prix de vente moyen des copropriétés dans l’ensemble de la RMR a pour sa part augmenté de 3 % au dernier trimestre, soit une croissance similaire à celle enregistrée depuis le début de l’année. Cette croissance des prix plus faible que les autres types de logement s’explique entre autres par une augmentation de la proportion de copropriétés vendues dans les secteurs plus abordables de la RMR.

Il s’est conclu 948 ventes de plex durant le troisième trimestre de 2008, soit 2 % de plus qu’à la même période en 2007. L’offre de plex a pour sa part progressé de 15 % par rapport au troisième trimestre de 2007. Cette progression s’avère toutefois plus faible que celle de 20 % enregistrée au trimestre précédent. Au cours du troisième trimestre de 2008, 2 766 plex étaient inscrits au système MLS® de la CIGM. À noter qu’avec une hausse des inscriptions de 11 %, la rive-sud est passée d’un marché de vendeur à un marché équilibré. L’augmentation appréciable du nombre d’inscriptions que l’on observe depuis le début de l’année semble tranquillement se refléter sur les prix. Sur le territoire de la RMR, les prix de vente des plex ont affiché une croissance de 5 % au dernier trimestre, légèrement en deçà de la croissance de 6 % enregistrée pour les six premiers mois de l’année.

Le marché de la revente à Montréal avantage toujours les vendeurs

Île-des-Sœurs, le 12 novembre 2008 – Selon les données du système MLS®, la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) indique que le nombre de transactions conclues dans la région métropolitaine de Montréal a légèrement diminué de 4 % depuis le début de l’année comparativement à la même période l’an dernier, s’établissant à 36 955 ventes.

« Le marché de la revente qui se porte très bien à Montréal prouve que l’immobilier est toujours un bon investissement. Cette affirmation est encore plus juste quand on regarde les autres grandes villes canadiennes comme Calgary, Vancouver et Toronto, qui affichent de fortes baisses des ventes depuis le début de l’année », précise Michel Beauséjour, FCA, chef de la direction de la CIGM. « De plus, il ne faut pas oublier que les ventes sont comparées à celles de 2007, l’année qui a battu tous les records. »

À Calgary, le nombre de ventes enregistrées au cours des 10 premiers mois de 2008 a diminué de 27 % comparativement à la même période en 2007. Vancouver et Toronto enregistrent, quant à elles, des baisses respectives de 22 % et de 16 %.

Dans la région métropolitaine de Montréal, le prix des propriétés a poursuivi son ascension au cours des 10 premiers mois de l’année. Les prix médians des maisons unifamiliales et des plex ont augmenté de 6 % par rapport à la même période l’an dernier, alors que celui des copropriétés a enregistré une hausse de 3 %.

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